Skip to main content
EN

ÉCONOMIES DE COÛTS GRÂCE AU PARTENARIAT POUR DES ÉCONOMIES SUR LES MÉDICAMENTS BIOLOGIQUES™

DÉCOUVREZ COMME LE PARTENARIAT POUR DES ÉCONOMIES SUR LES MÉDICAMENTS BIOLOGIQUES™ FONCTIONNE

Regardez cette vidéo d’animation pour en savoir plus sur les économies qui peuvent être réalisées grâce au PARTENARIAT POUR DES ÉCONOMIES SUR LES MÉDICAMENTS BIOLOGIQUES™

COMMENT LE PARTENARIAT POUR DES ÉCONOMIES SUR LES MÉDICAMENTS BIOLOGIQUES™ AIDE-T-IL À RÉDUIRE LES COÛTS?

Les coûts associés à la couverture par un régime privé sont à la hausse au Canada.

La proportion de Canadiens ayant accès à une couverture dans le cadre d’un régime d’assurance privé est passée de 71 à 79 pour cent au cours de la dernière décennie1. En 2018, les assureurs privés ont dépensé environ 8 fois plus pour la couverture de médicaments sur ordonnance qu’en 19902. Au cours des dernières années, les dépenses ont augmenté d’environ 10,8 pour cent chaque année3*.

L’utilisation des médicaments biologiques et des biosimilaires est un facteur majeur de ce changement.

La hausse des dépenses en médicaments est partiellement imputable à une utilisation accrue de médicaments biologiques et de médicaments biologiques biosimilaires (aussi connus sous le nom de « biosimilaires »)2,3†. À l’heure actuelle, les dépenses en médicaments de spécialité (p. ex. médicaments biologiques) représentent 29 pour cent des dépenses totales en médicaments sur ordonnance dans le cadre des régimes d’assurance privés3.

Utiliser une stratégie « biosimilaires d’abord » n’est pas la seule façon de compenser ces coûts.

Les assureurs privés canadiens peuvent envisager une stratégie axée sur un objectif précis : neutraliser la hausse des coûts des médicaments biologiques, en introduisant des politiques qui visent à intégrer l’utilisation des biosimilaires dans leurs régimes d’assurance. De plus, les assureurs privés peuvent choisir d’utiliser une stratégie « Biosimilaires d’abord », où les nouveaux patients n’ayant jamais reçu d’agent biologique sont traités par des biosimilaires au départ (lorsqu’ils sont offerts), mais n’ont accès aux médicaments biologiques qu’en cas d’intolérance ou d’échec thérapeutique aux biosimilaires4.

Les ententes d’inscription de produits, comme le Partenariat pour des économies sur les médicaments biologiques™, offrent une autre option

Une autre stratégie qui peut être utilisée est l’entente d’inscription de produits (EIP), soit une entente conclue entre les fabricants de médicaments biologiques et les assureurs pour aider à gérer les coûts4,5.

Le Partenariat pour des économies sur les médicaments biologiques™ (PEMB) est une stratégie « EIP » que propose Janssen Inc. pour sa gamme de produits biologiques. La stratégie « PEMB » consisterait à fournir aux régimes d’assurance privés des remises sur les coûts de tous les médicaments biologiques de Janssen, afin d’assurer une harmonisation avec les coûts des biosimilaires. Les économies réalisées s’appliqueraient aux patients jamais ou déjà traités par un agent biologique.


COMMENT LE PARTENARIAT POUR DES ÉCONOMIES SUR LES MÉDICAMENTS BIOLOGIQUES™ SE COMPARE-T-IL À UNE STRATÉGIE « BIOSIMILAIRES D’ABORD » ?

L’approche « PEMB + Biosimilaires d’abord » pourrait entraîner des économies de coûts comparativement à une stratégie « Biosimilaires d’abord » seule6‡.

RSM Canada a été engagée par Janssen pour entreprendre une analyse actuarielle de la stratégie « PEMB » pour les régimes d’assurance-médicaments privés au Canada. L’étude visait à comparer le rapport coût-efficacité des stratégies « PEMB + EIP dans l’ensemble du secteur » avec celui d’une stratégie « Biosimilaires d’abord ».

DÉFINITIONS DES SCÉNARIOS ANALYSÉS
# Scénario Description
1 Référence
  • Aucune stratégie d’économies de coûts n’est appliquée.
  • Tous les scénarios sont comparés avec le scénario de référence pour établir les économies de coûts.
2 Stratégie « Biosimilaires d’abord »
  • Les patients n’ayant jamais reçu d’agent biologique sont traités par des biosimilaires (lorsqu’ils sont offerts).
  • Les patients déjà traités par un agent biologique continuent comme avant. Les économies de coûts ne s’appliquent donc qu’aux nouveaux patients n’ayant jamais reçu d’agent biologique.
3 Stratégie « PEMB + Biosimilaires d’abord »
  • Les économies de coûts (grâce à l’utilisation actuelle des biosimilaires) continuent d’être réalisées.
  • Une remise a été appliquée au coût pour les patients n’ayant jamais reçu d’agent biologique et ceux ayant déjà reçu un agent biologique qui sont traités par des médicaments biologiques de Janssen, afin que le coût annuel de chaque médicament biologique soit comparable à celui d’un biosimilaire. Aux fins de la présente analyse, un montant de 16 000 $ par patient a été établi comme limite maximale annuelle.
4 Stratégie « PEMB + EIP »
  • Une remise a été appliquée au coût pour les patients n’ayant jamais reçu d’agent biologique et ceux ayant déjà reçu un agent biologique qui sont traités par des médicaments biologiques, afin que le coût annuel de chaque médicament biologique soit 16 000 $ par patient, conformément à la stratégie « PEMB ».

ÉCONOMIES MOYENNES TOTALES SUR 12 MOIS POUR LES RÉGIMES D’ASSURANCE PRIVÉS DANS CHAQUE SCÉNARIO6


						Le diagramme à bandes montre les économies de coûts sur 3 ans correspondant aux 3 scénarios. 

							L’axe des y présente les économies en dollars.
							L’axe des x comporte 3 sections : Année 1, année 2 et année 3.

							Chaque axe des x compte 3 stratégies mesurées : Stratégie « Biosimilaires d’abord », stratégie « PEMB + Biosimilaires d’abord » et stratégie « PEMB + EIP ».

							Année 1 :
							La stratégie « Biosimilaires d’abord » montre des économies de 25 $. 
							La stratégie « PEMB + Biosimilaires d’abord » montre des économies de 628 $. 
							La stratégie « PEMB + EIP » montre des économies de 1 028 $. 

							Année 2 :
							La stratégie « Biosimilaires d’abord » montre des économies de 69 $. 
							La stratégie « PEMB + Biosimilaires d’abord » montre des économies de 672 $. 
							La stratégie « PEMB + EIP » montre des économies de 1 098 $. 

							Année 3 :
							La stratégie « Biosimilaires d’abord » montre des économies de 110 $. 
							La stratégie « PEMB + Biosimilaires d’abord » montre des économies de 713 $. 
							La stratégie « PEMB + EIP » montre des économies de 1 165 $.

La stratégie « PEMB » a surpassé une approche « Biosimilaires d’abord » sur le plan des économies de coûts6‡

Les économies associées à la stratégie « PEMB » étaient beaucoup plus importantes que celles associées à l’approche « Biosimilaires d’abord » :

STRATÉGIE « PEMB » VS APPROCHE « BIOSIMILAIRES D’ABORD » SUR 3 ANS

Stratégie « PEMB » Approche « Biosimilaires d’abord »
Économies 1,864 milliard $ 184 millions $
Produits Médicaments biologiques de marque Biosimilaires Biosimilaires uniquement
Patients Nouveaux patients
Patients existants
Nouveaux patients uniquement

Une approche « PEMB + Biosimilaires d’abord » peut entraîner nettement plus d’économies pour les assureurs privés, tout en offrant aux médecins et aux patients la flexibilité de choisir entre les médicaments biologiques et les biosimilaires.

 

* Données mesurées de 2009 à 2018.

† [SUPPRIMÉ] Pour les besoins de ce document, le terme « médicaments biologiques » ne servira qu’à désigner les médicaments biologiques « novateurs » (c.-à-d. un médicament qui contient un ingrédient médicinal n’ayant pas déjà été autorisé dans un médicament par Santé Canada) et les médicaments biologiques « de référence » (c.-à-d. un médicament biologique dont la vente a déjà été autorisée au Canada, et sur lequel est basé le biosimilaire dont l’approbation de vente est demandée selon une démonstration de similarité avec le médicament biologique de référence).

‡ RSM a utilisé des données d’IQVIA sur les demandes de remboursement auprès d’assureurs privés, qui ont été fournies par Janssen Inc. Ces données comprenaient les coûts relatifs aux demandes de remboursement selon les produits ainsi que les taux de constance thérapeutique modélisés pour estimer le coût des médicaments biologiques et des biosimilaires. Les frais d’exécution d’ordonnances et les remises confidentielles n’ont pas été pris en compte. Les médicaments biologiques et biosimilaires inclus dans l’analyse ont été limités aux principales indications suivantes, pour lesquelles l’utilisation de ces médicaments est autorisée au Canada : maladies intestinales inflammatoires (maladie de Crohn et colite ulcéreuse), polyarthrite rhumatoïde, rhumatisme psoriasique et psoriasis en plaques. Le tableau ci-dessous présente les vingt-quatre médicaments biologiques et biosimilaires inclus dans l’analyse : Actemra, Orencia, Brenzys (biosimilaire), Otezla, Cimzia, Remicade, Cosentyx, Renflexis (biosimilaire), Enbrel, Rituxan, Entyvio, Siliq, Erelzi (biosimilaire), Simponi, Humira, Skyrizi, Inflectra (biosimilaire), Stelara, Kevzara, Taltz, Kineret, Tremfya, Olumiant, Xeljanz. Les économies de coûts comprenaient une prévision des dépenses en médicaments biologiques et en biosimilaires sur le marché de l’assurance privée au Canada. Cette prévision reposait sur les données historiques recueillies par IQVIA et fournies par Janssen concernant les demandes de remboursement selon les produits pour la période entre janvier 2016 et juillet 2019 (période d’analyse).

Jump to top of page