Alors qu’approche le premier anniversaire de l’annonce concernant « l’équité » en matière de fiducies de revenu, l’équipe de gestionnaires du Fonds de revenu mensuel élevé GGOF croit que l’avenir est prometteur pour les fiducies de revenu canadiennes. Selon John Priestman, Kevin Hall et Michele Robitaille, en effet, trois indicateurs clés permettent de soutenir leurs prévisions optimistes :

1. La valeur actuelle des fiducies de revenu reflète largement l’influence exercée par l’imposition à venir, comme en témoigne le rendement de l’Indice des fiducies de revenu S&P/TSX, inférieur de 18 % par rapport à celui de l’Indice composé S&P/TSX depuis l’annonce du 31 octobre 2006 sur l’imposition des fiducies de revenu(en date du 30 septembre 2007).

2. La demande pour des revenus avantageux sur le plan fiscal ne cesse de s’accroître. Selon un récent sondage GGOF/Ipsos Reid, 70 % des baby-boomers prévoient utiliser l’argent de leurs placements pour financer leur retraite. Or, tandis que cette génération se prépare à prendre sa retraite, l’offre d’options de revenu de grande qualité, telles que les valeurs à revenu fixe, les actions ordinaires et les actions privilégiées, se raréfie.

3. La plupart des fiducies se convertiront en sociétés par actions qui offriront des rendements élevés et verseront des dividendes, mais pas avant qu’elles ne soient obligées de le faire. Cela dit, que les fiducies se transforment en sociétés par actions ou qu’elles conservent leurs structures actuelles, les entreprises dotées d’équipes de gestion compétentes, d’offres commerciales intéressantes et de solides plateformes d’exploitation continueront à croître et à prospérer jusqu’en 2011 et au-delà.