Les autorités canadiennes évaluent si elles doivent ou non interdire la vente à découvert d’actions à la lumière de décisions semblables annoncées dans d’autres pays, dont les États-Unis, dans le but de calmer la crise sur les marchés financiers.

Le patron de l’Autorité des marchés financiers du Québec a indiqué qu’une décision serait rendue relativement rapidement par les autorités canadiennes, mais il a refusé d’estimer à quel moment.

Les États-Unis et le Royaume-Uni ont déjà suspendu la vente à découvert de titres financiers. Cette forme de transaction est rentable pour les investisseurs lorsque la valeur d’une action diminue, plutôt que lorsqu’elle grimpe.