Photo: 123RF

La moitié des travailleurs américains affirment que le bien-être des employés favorise une culture d’entreprise saine. 

Un travailleur américain sur deux (51 %) affirme que l’amélioration du bien-être des employés est une mesure clé que les employeurs peuvent prendre pour créer une culture de travail saine, selon un nouveau sondage réalisé par la société Eagle Hill Consulting.

Mais seulement un tiers (30 %) affirment que leur employeur a mis davantage l’accent sur le bien-être au cours de la dernière année,

L’enquête, menée auprès de plus de 1 300 travailleurs, a révélé que plus de la moitié d’entre eux (54 %) ont déclaré que l’importance accordée par leur employeur au bien-être des employés était restée stable, tandis qu’un cinquième (17 %) a déclaré que l’importance accordée par leur employeur au bien-être des employés avait diminué.

Près des trois quarts des travailleurs affirment qu’une culture d’entreprise saine les aide à donner le meilleur d’eux-mêmes (73 %) et stimule leur productivité et leur efficacité (72 %).

Lorsqu’on leur demande qui a un impact sur la culture organisationnelle, presque toutes les personnes interrogées (86 %) citent le personnel de l’entreprise, suivi des managers (79 %), des responsables des ressources humaines (75 %) et de la direction (69 %).

Si la moitié des personnes interrogées (51 %) ont déclaré que la culture de leur employeur était à peu près la même que celle d’autres entreprises, 39 % ont déclaré que la culture de leur employeur était meilleure que celle de la plupart des organisations et 10 % ont déclaré qu’elle était moins bonne.

« Les entreprises qui réussissent le mieux se soucient de leur culture et du bien-être de leurs employés », commente Melissa Jezior, PDG d’Eagle Hill Consulting, par communiqué. « La culture d’entreprise n’apparaît pas par magie. Les dirigeants doivent définir la culture de leur entreprise, la gérer et la contrôler, et modéliser les comportements qu’ils souhaitent voir apparaître au sein de leur personnel. Il y a fort à parier que lorsque la culture n’est pas une priorité, l’entreprise n’est pas compétitive, le recrutement et l’attrition sont des problèmes chroniques et des problèmes de réputation apparaissent. »

Ce texte a été publié initialement sur Benefits Canada.