Sept employeurs sur dix observent un retour sur investissement concernant les programmes de bien-être. 

Plus des deux tiers (70 %) des employeurs mondiaux affirment qu’ils constatent un retour sur investissement de leurs programmes de bien-être des employés, ce qui représente une hausse significative par rapport aux 23 % enregistrés en 2018, selon une nouvelle enquête réalisée par le cabinet d’études YouGov pour le compte de Virgin Group Ltd.

L’enquête, qui a interrogé plus de 600 employeurs, a révélé que les deux tiers d’entre eux ont déclaré avoir constaté une augmentation de la participation des employés aux programmes de bien-être, un pourcentage qui a augmenté chez les employeurs aux États-Unis (80 %) et en France (75 %).

En ce qui concerne les questions de bien-être les plus importantes, les employeurs ont classé le soutien aux préoccupations des employés en matière de santé mentale (56 %), la gestion du stress (49 %) et l’évaluation des risques pour la santé (41 %). Seuls 21 % ont cité le sevrage tabagique comme une question de bien-être.

Lorsqu’on leur a demandé pourquoi ils offraient un programme de bien-être, plus d’un quart (28 %) des répondants ont cité l’engagement des employés comme première raison, tandis qu’un cinquième (21 %) ont mentionné l’impact positif sur la culture du milieu de travail. Un quart (26 %) des employeurs suisses ont déclaré qu’offrir un programme de bien-être était la bonne chose à faire pour les employés et 22 % des employeurs néerlandais ont cité la fidélisation des employés comme la raison numéro un pour laquelle ils offrent un programme de bien-être.

Si le courriel reste la méthode la plus courante pour communiquer les programmes de bien-être aux employés, deux tiers (66 %) des employeurs ont déclaré utiliser les médias sociaux dans leurs communications, contre 21 % en 2018.

Et malgré les défis continus en matière de gestion des coûts, plus de la moitié des répondants ont déclaré qu’ils prévoyaient d’introduire ou d’améliorer leurs programmes de santé et de bien-être (59 %), leurs programmes de santé mentale (57 %) et la navigation dans les prestations de soins de santé (53 %).

Ce texte a été publié initialement sur Benefits Canada.