
La rémunération et les relations au sein du milieu de travail sont cruciaux pour le bien-être des travailleurs canadiens.
Le bien-être des employés canadiens dépend de plusieurs facteurs à l’influence considérable, dont la place a évolué au gré du contexte économique..
La rémunération (99 %) et les relations interpersonnelles (99 %) sont les aspects les plus cruciaux pour les travailleurs canadiens, quelle que soit la taille ou le secteur de leur organisation, selon une étude du Centre de politique publique du Groupe CSA.
L’équilibre travail-vie personnelle (95 %) et la qualité du leadership (89 %) sont les autres facteurs décisifs pour le bien-être au travail. Par ailleurs, la culture organisationnelle est un aspect déterminant pour 68 % des employés canadiens, rapporte HR Reporter.
Les importantes incertitudes économiques actuelles, combinées à la période d’inflation des dernières années, explique la place prépondérante de la rémunération.
Aussi, le sentiment croissant de solitude et d’isolement donne une valeur considérable aux relations interpersonnelles. Le milieu de travail est devenu l’un des rares endroits qui rassemble les personnes.
Parmi les sous-facteurs positifs du bien-être, c’est d’ailleurs la présence de collègues agréables qui est le plus souvent citée (98 %), devant les bons avantages sociaux (89 %).
À l’inverse, le mauvais management est le sous-facteur négatif le plus souvent cité (88 %), devant une rémunération insuffisante (75 %).