
La plupart des employeurs canadiens considèrent le coût comme leur principale préoccupation en matière d’avantages sociaux.
La majorité (82 %) des employeurs canadiens affirment que le coût est leur principale considération lorsqu’ils définissent et révisent les régimes d’avantages sociaux, comparativement à 66 % des organisations à l’échelle mondiale, selon un nouveau sondage réalisé par Normandin Beaudry et MBWL International.
Le sondage, qui a interrogé plus de 350 employeurs dans 100 pays, a révélé que plus de la moitié (54 %) de l’ensemble des répondants ont indiqué qu’ils priorisent les initiatives de bien-être physique et mental pour attirer et retenir les meilleurs talents, tandis que deux répondants sur cinq (38 %) ont déclaré avoir mis en place ces initiatives dans le but de maîtriser les coûts liés aux avantages sociaux.
La moitié (51 %) des répondants ont cité la hausse des coûts des soins de santé comme leur plus grand défi pour soutenir une main-d’œuvre vieillissante, suivie par le soutien à la planification de la retraite (37 %) et l’adaptation ou la requalification (25 %).
Lorsqu’on leur a demandé comment ils comptaient améliorer leurs régimes d’avantages sociaux, 61 % des répondants ont indiqué qu’ils travaillent à améliorer la communication et l’engagement des employés, suivis par l’analyse comparative (60 %), l’optimisation des dépenses liées aux avantages (52 %) et la maîtrise des coûts (51 %).
Près de sept répondants sur dix (68 %) ont désigné l’analyse comparative comme principale méthode de collecte de données pour gérer efficacement leurs régimes d’avantages sociaux, suivie des sondages auprès des employés (63 %), des entrevues de départ (49 %), des systèmes de gestion de la performance (20 %) et des outils de rétroaction en temps réel (11 %). Un répondant sur dix (9 %) a indiqué ne recueillir aucune donnée pour appuyer la gestion de ses régimes d’avantages.
La majorité (80 %) des organisations canadiennes ayant stratégiquement priorisé la diversité, l’équité et l’inclusion avant 2025 affirment vouloir maintenir cet engagement cette année, comparativement à 52 % de l’ensemble des répondants.
Ce texte a été publié initialement sur Benefits Canada.