Montréal, le 18 mai 2006 – Plusieurs Québécois et Québécoises sont d’avis que
leur employeur ne les renseigne pas suffisamment au travail quant à la planification
de leur retraite selon un récent sondage national commandité par Edward Jones
et mené par Léger Marketing.
» La question du sondage démontre bien qu’il y a une opportunité pour les employeurs
de combler une lacune afin d’aider leurs employés à s’assurer une situation
financière saine à la retraite « , de dire Gary Reamey, chef de la direction
de la division canadienne de la société de placements Edward Jones.
Le sondage a montré qu’un peu moins que la moitié des Québécois et Québécoises
(46,8 pour cent)considéraient que leur employeur leur était » extrêmement utile
» ou » passablement utile » lorsque venait le temps de les informer en vue de
la retraite. Au Canada, 37 % ont répondu que leur employeur n’était « pas très
utile » ou « aucunement utile » à les aider à planifier la retraite.
Les répondants dont les revenus s’inscrivaient dans les échelles inférieures
étaient les plus ennuyés par cette situation. En effet, seulement 16 % des répondants
dont le salaire était inférieur à 40 000 $ qualifiaient leur employeur d' » extrêmement
utile » comparativement à 29 % pour ceux dont le revenu annuel était de 60 000
$ ou plus.
» Nous savons depuis quelque temps déjà que les Canadiens ne se préparent pas
adéquatement à la retraite, puisque seulement 9 % de la contribution maximale
à un RÉER est utilisée. Ceux qui sont d’avis qu’ils reçoivent une information
adéquate de leur employeur pourraient avoir besoin de plus d’aide qu’ils ne
le pensent. Les employeurs pourraient faire partie de la solution et offrir
des programmes de planification de la retraite de qualité qui empêcheraient
les gens de faire des erreurs coûteuses « , de conclure M. Reamey.