Les trois quarts des employeurs canadiens offrent ou souhaitent offrir des avantages sociaux flexibles.

Les trois quarts des organisations canadiennes (et 67 % des employeurs internationaux) offrent ou souhaitent offrir un choix d’avantages sociaux ou des avantages sociaux flexibles, selon une nouvelle enquête de MBWL International, une coentreprise internationale entre Barnett Waddingham, Milliman & Lurse, et Normandin Beaudry.

L’enquête, qui a été menée auprès de plus de 250 employeurs du monde entier, révèle que 27 % d’entre eux n’offrent pas d’avantages sociaux flexibles et n’envisagent pas d’en offrir à l’avenir, tandis que 5 % n’en sont pas certains.

La majorité (81 %) des personnes interrogées ont cité le coût comme l’aspect le plus important dont les entreprises tiennent compte lorsqu’elles conçoivent et révisent les avantages sociaux, suivi par l’attraction et la fidélisation (51 %) et les résultats des analyses comparatives du marché (33 %).

Lorsqu’on leur demande quels sont les programmes d’avantages sociaux sur lesquels ils se concentrent le plus cette année, plus des deux tiers des employeurs répondent les programmes de bien-être (68 %) et les prestations assurées (63 %), tandis que 24 % répondent le travail flexible/hybride.

L’âge et les considérations générationnelles (56 %) sont les principaux aspects de la diversité, de l’équité et de l’inclusion auxquels les organisations estiment devoir prêter attention, en plus de l’équité entre les niveaux d’emploi (56 %) et entre les sexes (53 %). Les employeurs ont également noté que le travail flexible (63 %), les soins de santé (61 %) et les avantages liés aux congés (43 %) étaient les plus appréciés par leurs employés.

Plus des deux tiers (37 %) des personnes interrogées ont cité la communication comme le principal obstacle à un engagement réussi en matière d’avantages sociaux, suivi par le manque de formation des managers, le manque de ressources dans les équipes chargées des avantages sociaux et le manque de budget pour les programmes d’avantages sociaux (33 % pour chacun d’entre eux, respectivement).

« Les responsables des avantages sociaux mondiaux sont confrontés à des défis en constante évolution, et leurs priorités évoluent en conséquence », commente Daniel Drolet, associé principal des avantages sociaux chez Normandin Beaudry, par communiqué. « Avec les bonnes stratégies et la bonne gouvernance, ils ont une occasion [importante] d’ajouter une valeur considérable à leurs organisations et à leurs employés partout dans le monde. »

Ce texte a été publié initialement sur Benefits Canada.