Les programmes de mieux-être financier doivent mieux exploiter des mesures ciblées et la technologie pour inciter les participants à passer à l’action, selon un rapport du SPARK Institue et de Cerulli Associates.

Si le terme « mieux-être financier » demeure ambigu, le rapport souligne l’importance d’une approche holistique au-delà de l’épargne-retraite qui inclut le budget, l’épargne pour des urgences, ainsi que la gestion des dépenses et des dettes.

Pour Dan Cook, analyste chez Cerulli Associates, il importe d’adopter des mesures qui correspondent aux priorités du promoteur de régime pour déterminer l’efficacité du programme.

« L’industrie reconnaît de plus en plus que l’épargne-retraite n’est pas isolée. Le participant moyen doit composer avec différentes priorités financières. »

Les participants à un régime CD ayant un actif de moins de 500 000 $ sont moins susceptibles de faire appel à un conseiller en services financiers comme source principale de conseils sur la retraite. « Les fournisseurs jouent ainsi un rôle important pour conseiller cette cohorte, souvent par l’entremise du programme de mieux-être financier », affirme M. Cook.

Le rapport a analysé les réponse de 26 fournisseurs américains de régimes CD avec quelque 5,9 billions d’actifs sous gestion. Sept sur dix (71 %) mesuraient l’efficacité du programme selon le taux de participation aux séances éducatives.

Quelque 67 % se servent du taux de participation aux outils en ligne.