Une petite minorité d’employés estiment que leur employeur offre suffisamment de ressources pour favoriser le bien-être face à la pandémie de Covid-19.
15% des employés reconnaissent que leur employeur en fait assez, indique une enquête de Lululemon Athletica.
Moins d’un tiers (29 %) des personnes interrogées dans le monde disent qu’elles se sentent bien dans toutes les dimensions physiques, mentales et sociales. Les répondants canadiens ont fait état d’un certain nombre d’obstacles au bien-être, notamment la pandémie de coronavirus elle-même (59 %), le manque de temps et les responsabilités personnelles (40 %), le manque d’argent (45 %), l’absence d’un réseau de soutien personnel (45 %), les conditions de santé (42 %), le stress (31 %) et l’accès limité aux ressources (30 %).
Parmi les différentes générations génération, ce sont les jeunes (92 %) qui ont déclaré rencontrer le plus d’obstacles.
Pour contrer ces tendances, les employeurs peuvent favoriser un meilleur équilibre du temps de travail et une meilleure gestion du stress pour leur personnel, et par conséquent, renforcer le bien-être et la résilience, selon le rapport de l’enquête, qui a également noté le lien entre un environnement de travail positif et l’optimisme pour l’avenir.
Plus de la moitié des salariés interrogés (55 %) ont déclaré que le temps et les responsabilités personnelles étaient les principaux facteurs ayant un impact sur leur bien-être, tandis que 36 % de ceux qui ont décrit leur environnement de travail comme sûr et favorable ont également fait état de niveaux d’optimisme plus élevés.
Tout au long de la pandémie, l’entreprise de vêtements de sport basée à Vancouver a soutenu ses employés avec des programmes physiques, mentaux et sociaux, y compris plus de 1 100 cours de bien-être et de développement en ligne et sa formation aux premiers secours en matière de santé mentale pour doter les dirigeants des compétences nécessaires pour soutenir les employés.
Ce texte a été publié initialement sur Benefits Canada.