Les employeurs qui se concentrent sur le bien-être de leurs employés sont deux fois plus susceptibles d’obtenir de bons résultats en matière de talents et de finances.

Les employeurs fortement axés sur le bien-être des employés sont deux fois plus susceptibles de faire état d’un meilleur capital humain et de meilleurs résultats financiers que les entreprises dont l’efficacité en matière de bien-être est faible, selon une nouvelle enquête de WTW.

L’enquête, qui a interrogé plus de 3 600 employeurs mondiaux et plus de 45 000 employés, a révélé que 69 % des employeurs très efficaces ont fait état d’un fort engagement des employés (contre 28 % des employeurs moins efficaces), 68 % d’une productivité élevée des employés (contre 26 %) et 66 % d’une performance financière élevée (contre 43 %).

Lorsqu’on leur a demandé quelles étaient leurs principales priorités pour mettre en œuvre leur stratégie de bien-être au cours des trois prochaines années, 56 % des employeurs ont cité la communication, suivie de la culture (55 %) et de la diversité, de l’équité et de l’inclusion (42 %).

La concurrence pour attirer les talents (65 %) est la question qui influence le plus les stratégies de bien-être des employeurs, suivie par l’accent mis sur la diversité, l’équité et l’inclusion (52 %), la crise croissante de la santé mentale (48 %) et les modalités de travail flexibles (44 %).

Les trois cinquièmes (59 %) des salariés ont cité le bien-être financier comme une priorité, contre seulement 22 % des employeurs. À l’inverse, le bien-être émotionnel est mieux classé par les employeurs (66 %) que par les employés (41 %).

Ce texte a été publié initialement sur Benefits Canada.