Médicaments

Les promoteurs canadiens reconnaissent l’importance de leur régime d’assurance médicaments, en pointant son rôle de protection financière des employés et celui d’attraction et fidélisation.

Les promoteurs considèrent que leur régime d’assurance médicaments est très utile, mais ils sont aussi très préoccupés par sa viabilité, montre le sondage 2025 sur l’assurance médicaments de Benefits Canada, mené auprès de 124 représentants de promoteurs canadiens de régime et de 67 conseillers, courtiers ou consultants en avantages sociaux.

L’unanimité est totale puisque presque tous les promoteurs (92 %) ont déclaré que leur régime d’assurance médicaments était extrêmement ou très important dans le contexte économique actuel, alors que les 8 % restants ont dit qu’il était plutôt important.

L’importance des régimes d’assurance médicaments réside d’abord dans la capacité du régime à protéger les employés contre le fardeau financier indu attribuable aux besoins en matière de santé (84 %). Ce facteur est le plus cité par les promoteurs de régime. Ce point est aussi celui qui justifie le plus l’offre de leur régime d’assurance médicaments, selon les promoteurs.

Le deuxième facteur le plus avancé est l’attraction et le maintien en poste des employés (80 %). Ensuite, les promoteurs citent le rôle du régime dans le cadre d’une stratégie plus large sur la santé de l’organisation (75 %) et sa capacité à aider les employés aux prises avec des maladies ou des douleurs chroniques (72 %).

Parmi les autres facteurs d’importance, près de la moitié des promoteurs (47 %) ont cité le maintien de la productivité quotidienne des employés, et presque autant (44 %) estiment que le régime réduit le nombre ou la duré des demandes de prestations d’invalidité. Enfin, plus du tiers (37 %) considèrent que leur régime permet de réduire les jours de maladie.

Les conseillers, courtiers et consultants sont globalement d’accord avec les facteurs cités par les promoteurs, bien que ces conseillers minorent l’importance du régime (53 % contre 75 %) dans le cadre d’une stratégie plus large sur la santé de l’organisation, ainsi que la capacité du régime (58 % contre 72 %) à aider les employés aux prises avec des maladies ou des douleurs chroniques.