Les recherches en ligne des employés concernant les symptômes de l’épuisement professionnel sont en hausse de 50 % en 2024. 

Les recherches en ligne des employés à propos des signes et symptômes d’épuisement professionnel ont augmenté de plus de 50 % dans le monde en 2024, selon une étude d’Instant Offices.

L’étude mondiale, qui a analysé les tendances dans 30 grandes villes, a révélé que les travailleurs de Toronto avaient l’un des taux de recherche sur l’épuisement les plus élevés au monde, avec 710 recherches par mois, suivis de Montréal à 540.

Dans l’ensemble, Londres (2 240) était en tête de la liste avec le plus de recherches d’épuisement professionnel, suivie de Melbourne, de Singapour et de New York. Aux États-Unis, 57 % des employés ont déclaré subir des effets négatifs du stress lié au travail, y compris l’épuisement émotionnel, la baisse de la productivité et le manque de motivation.

Près de la moitié (47 %) des travailleurs à Singapour se sentaient épuisés mentalement et/ou physiquement à la fin de leur journée de travail et plus de deux employés sur cinq ont déclaré qu’ils trouvaient de plus en plus difficile de trouver la motivation pour faire leur travail.

Au Royaume-Uni, 91 % des employés ont déclaré avoir été confrontés à des « niveaux élevés ou extrêmes » de pression ou de stress au cours de la dernière année; et qu’un sur cinq avait besoin de s’absenter du travail l’année dernière en raison de l’impact de ce stress sur leur santé mentale.

Les principaux facteurs de stress cités par les travailleurs du Royaume-Uni comprennent une charge de travail élevée ou une augmentation des tâches non rémunérées (54 %), le fait de travailler régulièrement des heures supplémentaires non payées (45 %), le sentiment d’isolement au travail (42 %) et les inquiétudes concernant le licenciement/la sécurité de l’emploi (40 %).

Notamment, alors que 25 % des employés du Royaume-Uni travaillant dans un bureau fixe ont déclaré que les modalités de travail sont un facteur contribuant à l’épuisement professionnel, seuls 16 % des travailleurs à domicile et 14 % des travailleurs hybrides ont dit la même chose.

Ce texte a été publié initialement sur Benefits Canada.