Le passage contraint au télétravail fait peser davantage de risque sur les données des  organisations.

Les employés en télétravail ont déjà mis les données des organisations à risque, et ce n’est pas un secret.

Un sondage mené par Apricorn montre que 35 % des décideurs en technologies de l’information britanniques admettent cette réalité pour ce qui est de l’année écoulée, rapport Work Place Insight.

Mais l’année de la pandémie n’est pas une exception. Plus de la moitié de ces décideurs (58 %) croient que cette situation perdure, et que les travailleurs continuent d’exposer leur entreprise au risque d’une violation des données.

Ce constat met en relief les lacunes technologiques. Mais pas seulement. Le quart des répondants estime que les télétravailleurs ne se préoccupent tout simplement pas de la sécurité des données.

Et pour ceux qui s’en préoccupent, 65 % des employeurs reconnaissent que leurs télétravailleurs ne disposent pas des compétences ou de la technologie nécessaires pour assurer la sécurité des données.

Or, un des risques croissants concerne les rançongiciels, que 17 % citent comme un enjeu actuel  important. Cette technique de fraude repose sur le fait de duper 

La pandémie a pris les entreprises au dépourvu; elles n’étaient pas préparées à sécuriser une main d’oeuvre travaillant totalement à distance, souligne Apricorn. La rapidité de mise en place d’outils informatiques a primé sur les questions de sécurité.