Plus des deux tiers (70 %) des milléniaux disent qu’ils n’épargnent pas assez pour la retraite, tandis que 27 % ne sont pas en mesure d’épargner de l’argent, selon un nouveau sondage d’Edward Jones Canada.

Le sondage, effectué auprès de plus de 1 000 employés âgés de 18 ans et plus, a révélé que les milléniaux étaient les plus susceptibles de citer l’endettement (21 %), la situation d’emploi (13 %) et le mode de vie (9 %) comme étant les principaux obstacles à l’épargne-retraite. Parmi toutes les personnes interrogées, le coût actuel de la vie (52 %) est le principal facteur ayant une incidence sur la retraite.

Les deux tiers (66 %) des milléniaux ont convenu qu’ils donnaient la priorité à d’autres objectifs financiers – comme le remboursement des dettes, l’achat d’une maison ou la fondation d’une famille – plutôt qu’à la retraite, comparativement à 46 % de la génération X et à 40 % des baby-boomers.

Et si près des trois quarts (72 %) des milléniaux ont déclaré qu’ils retarderaient leur retraite si cela leur permettait de conserver leur style de vie idéal avant la retraite, 38 % ont déclaré vouloir prendre leur retraite avant 65 ans.

« Nous continuons d’assister à un déclin des pensions à prestations déterminées offertes par les employeurs et, par conséquent, l’épargne-retraite est devenue une responsabilité personnelle pour les Canadiens », commente Julie Petrera, stratège principale pour les besoins des clients chez Edward Jones Canada, dans un communiqué de presse. « Cela représente un défi, surtout pour les milléniaux qui doivent naviguer entre de multiples obstacles qui ont un impact sur leur capacité à épargner pour leur retraite. Il est très important de mettre en place une stratégie financière qui les aide à surmonter ces obstacles pour les mettre sur la bonne voie et les y maintenir. »

Ce texte a été publié initialement sur Benefits Canada.