Le travail n’est pas source de bonheur pour bon nombre d’employés américains, selon un récent sondage de Teem, un fournisseur de services de réunions par l’entremise du nuage (cloud-based meetings).

En effet, 48 % des travailleurs ayant participé à l’étude affirment être malheureux, observe-t-on dans un communiqué.

Alors que l’augmentation de salaire ferait le bonheur de 53 % des travailleurs, ces derniers nomment aussi l’équilibre travail-famille et la reconnaissance du travail bien accompli parmi les critères les plus susceptibles de les combler.

À lire : Trouver la recette du bonheur au travail

« Les travailleurs malheureux nuisent à l’entreprise (sont bad for business) », affirme-t-on. Entre autres facteurs, cela est attribuable à la mauvaise communication, à la piètre conception des espaces de travail et au manque de lignes directrices pour l’utilisation des technologies en dehors des heures de travail.

Du côté de la génération du millénaire, 83 % croient que les espaces ouverts, et le manque de confidentialité, nuisent à leur travail.

Les baby-boomers, quant à eux, affirment que les entreprises ne leur fournissent pas une formation suffisante sur les nouvelles technologies.

Dans l’ensemble, les communications en personne représentent le moyen préféré pour 42 % des participants, suivi du courriel (19 %) et du téléphone (8 %).

À lire : Et si du travail dépendait le bonheur?