Trois Québécois sur dix hésiteraient à embaucher une personne trans.

Un Québécois sur dix affirme même qu’il aurait « beaucoup d’hésitations », selon un sondage Léger Marketing cité par Métro.

Cette partie de la population québécoise serait prête à cautionner une telle discrimination à l’embauche.

Le guide ProAllié publié par la Fondation Émergence recense les bonnes pratiques que les employeurs peuvent mener pour développer un milieu de travail davantage accueillant pour les personnes LGBTQ+, rapporte également le quotidien.

Un tel environnement de travail, plus inclusif, rend la transition d’une personne trans plus facile, en montrant aux employeurs que le processus de cette transition n’est pas si compliqué que ce qu’ils croient. Cette transition serait bien acceptée par le milieu de travail, disent 64% des Québécois, interrogés dans le même sondage.

C’est aussi un gage d’efficacité pour les entreprises, selon la Fondation Émergence, car la communauté LGBTQ+ représente 10% de la population. La mise en place de bonnes pratiques favoriserait l’accueil de candidats représentant toute la diversité de la population.