L’Empire, Compagnie d’Assurance-Vie a lancé de nouvelles mesures de mutualisation en soins de santé pour limiter l’exposition de propriétaires d’entreprise aux règlements onéreux de médicaments.

À compter de janvier, les assureurs en soins de santé doivent offrir un plan de protection pour les régimes d’assurance santé complémentaire (PPRASC) à leurs clients d’assurance collective, en raison d’une exigence de la Société canadienne de mutualisation en assurance médicaments.

La mutualisation en soins de santé est une façon de répartir le risque et de limiter l’exposition des clients aux règlements élevés.

Les mesures introduites par l’Empire Vie visent à « limiter l’exposition des propriétaires d’entreprise aux règlements élevés tout en aidant ceux-ci à créer des régimes d’avantages sociaux plus durables pour le futur », affirme Janet Jackson, vice-présidente, Marketing, Assurance collective.

Les caractéristiques du produit de mutualisation de l’Empire Vie incluent :

  • le choix du seuil de mutualisation qui permet aux clients d’assurance collective de gérer les coûts de leur régime d’assurance collective selon leur tolérance au risque et leur budget;
  • l’inclusion de toutes les garanties d’assurance santé complémentaire, pas seulement de l’assurance médicaments ; et
  • un pool des montants importants pour les clients qui ne sont pas admissibles au PPRASC ou qui ont certains coûts de règlements non admissibles au PPRASC.

« Nos mesures de mutualisation en soins de santé sont une réponse novatrice aux exigences de la SCMAM, poursuit Mme Jackson. Elles aideront les employeurs et les particuliers canadiens à gérer l’incidence financière des médicaments et des soins de santé à coût élevé. »

Steve Pong, vice-président principal, Solutions d’assurance collective à l’Empire Vie, conclut : « Nous sommes allés au-delà des exigences de base de l’initiative pour nous assurer que tous nos clients pourront bénéficier de cette protection rentable. »