Un tiers des Canadiens seraient prêts à sacrifier une partie de leur salaire, des jours de vacances ou des avantages sociaux pour pouvoir travailler à distance.

C’est du moins la conclusion d’un sondage de Rogers Communications réalisé par Harris Decima sur l’espace de travail connecté et l’usage des technologies.

La flexibilité que permettent ces technologies revêt une grande importance. En effet, plus de la moitié de travailleurs à temps plein ont indiqué qu’un horaire souple et la possibilité de travailler à distance seront des grandes priorités au moment de choisir un employeur.

Tant les baby-boomers que les personnes de la génération Y considèrent comme important l’accès aux technologies de pointe (70 % et 66 %, respectivement) au travail.

Quant aux appareils, 23 % de ceux qui utilisent deux téléphones intelligents le font parce que leur employeur ne leur permet pas de relier leur appareil personnel au serveur de l’entreprise.

Or, 54 % de ceux qui utilisent leur téléphone intelligent pour des fins professionnelles et personnelles trouvent acceptable que leur employeur mette en place des politiques de sécurité.

« Il est évident que l’évolution vers un espace de travail connecté donnera l’occasion aux petites et aux grandes entreprises d’exercer une influence sur la productivité et de stimuler l’innovation, a affirmé Steve Van Binsbergen, vice-président, Segment Affaires, Rogers Communications. Les entreprises qui permettent à leurs employés de travailler en passant d’un appareil à l’autre et d’un environnement à un autre de façon transparente mettent tout en place pour améliorer le moral des employés et l’expérience des clients. »

Un sondage en ligne a été réalisé par Harris/Decima auprès de 1 001 Canadiens âgés de plus de dix-huit ans, travaillant à temps plein pour une entreprise ou une organisation. Le sondage a été mené en français et en anglais entre le 17 et le 30 octobre 2013.