Un employé sur cinq travaille dans un environnement toxique, selon un nouveau sondage.
La proportion de travailleurs évoluant dans un lieu de travail toxique prend des proportions considérables.
C’est désormais un travailleur sur cinq (20 %) qui déclare passer ses journées dans un environnement de travail toxique, selon un sondage du site d’emploi britannique CareerWallet. C’est encore plus vrai pour les femmes (22 %) que pour les hommes (17 %), prévice HR Reporter.
Les plus jeunes sont aussi plus susceptibles de déclarer travailler dans un environnement de travail toxique, puisque c’est le cas de 24 % des moins de 45 ans, mais seulement 15 % des 45 ans et plus.
La description d’un lieu de travail toxique peut fortement varier d’un travailleur à l’autre. Certains pensent aux nombreuses heures de travail supplémentaires qu’ils doivent effectuer en fin de journée. D’autres trouvent injuste la charge de travail qui pèse sur eux.
Le point commun des travailleurs qui considèrent oeuvrer dans un environnement toxique est la quête d’un nouvel emploi. Près de trois travailleurs sur dix (28 %) sont prêts à quitter leur employeur au cours des 12 prochains mois, en raison d’un mauvais équilibre entre vie professionnelle et vie privée et d’un manque d’opportunités de développement, mentionnait un sondage précédent.
Et un employé sur trois (34 %) est activement à la recherche d’un nouveau travail ou prévoient en chercher un bientôt. Le même pourcentage explique que l’insuffisance de leur rémunération est un facteur décisif pour quitter leur employeur actuel.