Alors que seul 15 % des employés canadiens regrettent la décision d’avoir quitté leur ancien employeur, 82 % disent être prêts à revenir au bercail sous certaines conditions.

C’est ce que révèle un sondage d’Accountemps auprès de 400 adultes travaillant dans des bureaux.

Un meilleur salaire constitue une bonne raison pour retourner chez 54 % des participants, alors que pour 12 % c’est une promesse d’une occasion de croissance.

Près d’une personne sur dix (9 %) affirme qu’un horaire flexible pourrait les inciter à envisager un retour.

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Dianne Hunnam-Jones, présidente au Canada d’Accountemps, souligne l’importance de bien étudier les raisons de changer d’emploi et d’analyser les options chez l’employeur actuel.

« Même si la perspective de commencer un nouvel emploi est emballante, la décision de quitter le poste actuel devrait être étudiée attentivement pour éviter des regrets plus tard », dit-elle.

Parmi les plus grands regrets se trouvent le fait d’être parti pour de mauvaises raisons (28 %), le fait de laisser derrière des amis et des collègues (24 %) et le fait de ne pas avoir exploré d’autres occasions de carrière au sein de l’entreprise (13 %).

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