Quatre propriétaires d’animaux de compagnie sur dix (41 %) sont prêts à accepter une baisse de salaire pour travailler dans un environnement accueillant pour les animaux, selon une enquête .

Deux cinquièmes (41 %) des propriétaires d’animaux de compagnie se disent prêts à accepter une baisse de salaire pour travailler dans un environnement respectueux des animaux, selon une nouvelle enquête réalisée par OnePoll pour le compte de Vetster.

L’enquête, qui a interrogé 1 800 propriétaires d’animaux de compagnie salariés, révèle que 60 % d’entre eux étaient prêts à chercher un nouvel emploi si leurs besoins en matière de soins aux animaux de compagnie n’étaient pas satisfaits. De plus, pour offrir une meilleure vie à leur animal, les personnes interrogées seraient prêtes à sacrifier une promotion (16 %) et même leur sécurité d’emploi (14 %).

Si 70 % des ménages nord-américains possèdent au moins un animal de compagnie, par rapport aux autres générations, les milléniaux sont trois fois plus susceptibles d’avoir un animal de compagnie plutôt qu’un enfant.

Près de la moitié (47 %) des personnes interrogées ont déclaré que travailler dans un lieu de travail « très » accueillant pour les animaux de compagnie est une priorité absolue lorsqu’elles choisissent leur lieu de travail et qu’elles sont susceptibles de chercher un nouvel emploi en raison du coût des soins à apporter à leur animal de compagnie lorsqu’elles ne sont pas à la maison. C’est particulièrement vrai pour les répondants de la génération Z, puisque 62 % d’entre eux ont déclaré qu’un lieu de travail accueillant pour les animaux était une priorité pour eux, soit près de deux fois plus que les baby-boomers (35 %).

Parmi les parents d’animaux de compagnie qui ont des horaires de travail hybrides ou à distance, l’employé moyen prend cinq pauses câlins ou jeux au cours de la journée de travail pour passer du temps avec son animal de compagnie. En effet, plus de la moitié (59 %) ont déclaré que ces pauses étaient « absolument indispensables » à leur horaire de travail.

Près d’un quart (22 %) des travailleurs au bureau ou hybrides qui ont des animaux de compagnie ont admis que, lorsqu’ils sont au bureau, ils sont plus stressés par le comportement de leur animal à la maison que par leurs responsabilités professionnelles. En outre, 54 % des personnes interrogées ont déclaré que leur animal de compagnie souffrait d’anxiété de séparation lorsqu’elles étaient absentes du bureau et 47 % ont déclaré qu’elles souffraient également d’anxiété de séparation lorsqu’elles travaillaient loin de leur animal de compagnie.

« Les propriétaires d’animaux de compagnie nous montrent que les animaux sont une famille et que leur capacité à s’occuper de leurs animaux est une chose que les lieux de travail modernes doivent prendre en compte s’ils veulent qu’ils restent dans les parages », commente Cerys Goodall, directrice des opérations chez Vetster, par communiqué. « Il est important que les employeurs trouvent des moyens de travailler avec leurs employés parents d’animaux et de leur permettre de concilier leur rôle de parent d’animaux et leur carrière. Les lieux de travail accueillants pour les animaux de compagnie sont essentiels pour attirer et retenir les talents. »

Ce texte a été publié initialement par Benefits Canada.