De plus en plus d’entreprises québécoises mettent de l’avant leurs programmes de sport pour améliorer la santé des travailleurs et comme outil de recrutement.
Il s’agit d’un levier intéressant pour tenter d’attirer les meilleurs candidats dans un contexte de pénurie de main-d’œuvre, rapporte le Journal de Québec.
Par exemple, les quelque 600 employés de Biscuits Leclerc peuvent utiliser gratuitement un gymnase et un centre d’entraînement, et ce, depuis maintenant près de dix ans. Le cafétéria de la société offre par ailleurs des repas santé à un bon prix.
« C’est important d’offrir un environnement de travail où, oui, les gens viennent travailler, mais où ils peuvent aussi s’entraîner, faire autre chose », a expliqué François Gendron, directeur de formation et développement des personnes pour Biscuits Leclerc.
« Quand on fait visiter l’usine à de nouveaux candidats, ils sont surpris. Veut, veut pas, c’est quand même des coûts pour s’inscrire à une activité sportive. Chez nous, c’est moins cher et plus accessible. »
Quant à elle, l’entreprise de développement de logiciel Cortex offre une allocation allant jusqu’à 400 $ par année pour les activités sportives, comme un abonnement à un gym.