Afin d'offrir aux Canadiens plus de solutions en matière de régimes de retraite de l'employeur.
L'Ontario et le Québec ont des points de vue diamétralement opposés quant à ce nouveau genre de régime de retraite.
Il n’y a pas de surprise, si ce n’est le fait que les cotisations des employés ne seront pas immobilisées. Le gouvernement n’a pas statué non plus sur le taux maximal de frais de gestion.
Cinq experts partagent leur opinion quant aux problèmes des régimes de retraite et de la direction que devrait prendre la réforme des régimes de retraite.
Près de 70 % de celles qui n'ont actuellement pas de régime au travail sont disposées à offrir cette nouvelle option d'épargne-retraite à leurs employés.
Corinne Pohlmann de la FCEI s’inquiète également que certains gouvernements provinciaux suppriment l’un des principaux attraits du modèle de RPAC, le fait qu’il soit volontaire.
Le RPAC est l’équivalent d’un régime de pension privé destiné à aider les travailleurs autonomes ainsi que les employés des petites entreprises du pays
La transition vers des régimes à cotisation déterminée pose plusieurs défis. Les régimes de retraite volontaires seraient-ils la solution?
Selon le ministre Ted Menzies, les RPAC fournira un mécanisme d’épargne-retraite à faible coût pour les employés et les travailleurs indépendants.
Les PME saluent les efforts visant la mise en œuvre des régimes de pension agrées collectifs, mais elles sont préoccupées par les hausses modestes relatives au RPC.