Jean-Michel ­Lavoie est entré au service de la ­Sun ­Life en 2013 à titre de directeur, garanties de remboursement de frais de médicaments aux garanties collectives avant d’être promu au poste de ­vice-président adjoint, conception de produits. Il était alors responsable d’élaborer et de mettre en œuvre la stratégie pour les produits en garanties collectives. Il a représenté la ­Sun ­Life dans des groupes de travail de l’industrie et des activités liées aux relations avec les gouvernements qui ont eu des répercussions très positives. Depuis quelques mois, il est passé de l’autre côté de la clôture pour devenir ­vice-président régional pour le ­Québec dans le secteur des régimes collectifs de retraite.

Qu’est-ce qui vous plaît de travailler dans ce secteur?

Vu le dynamisme de l’industrie, on dispose des ressources pour agir à la hauteur de nos ambitions. Nos équipes développent des solutions pour répondre aux vagues de grands changements sociaux, tels que le vieillissement de la population et les cohortes de générations sur le marché du travail. Je me plais à naviguer dans un milieu qui vise l’atteinte d’un équilibre entre l’analyse de tendances populationnelles, les besoins particuliers des clients et une livraison de services personnalisés autant aux individus qu’aux entreprises.

Quel est le plus grand défi?

Je suis récemment passé de l’assurance aux régimes de retraite. À moi maintenant de mettre à profit mon expérience dans ce nouveau créneau. Avec un marché en ébullition, un des défis est d’identifier maintenant, grâce aux observations, aux données d’expérience et prédictives, et à l’analyse des grandes tendances sous-jacentes, les occasions futures pour nos clients.

Compte tenu de ce que vous savez aujourd’hui, quel conseil auriez-vous souhaité vous donner au moment de commencer votre vie professionnelle?

J’aurais aimé qu’on m’informe sur les opportunités de carrière stimulantes de l’industrie de l’assurance et des régimes collectifs. J’ai obtenu un diplôme en pharmacie et un ­MBA par la suite. En aucun temps ne m’­a-t-on parlé de ces secteurs. Pour plusieurs non-initiés, c’est un milieu ­sous-estimé et qui est à découvrir.

­Quelle question aimeriez-vous poser à quelqu’un qui vit en 2049?

Avons-nous réussi? ­Réussi à aider les ­Canadiens à vivre en meilleure santé, à minimiser le stress financier, à prendre une retraite telle que désirée. Qu’­aurions-nous pu faire pour les aider
davantage et les sensibiliser à l’importance de consacrer de l’énergie à la planification de leur retraite et à maintenir une bonne santé? ­Cela m’aiderait à raffiner les grands projets sur lesquels nous travaillons.