L’immense majorité (87 %) des médecins estiment que les connaissances d’un patient au sujet de la couverture de son régime d’assurance médicaments ont une incidence sur les ordonnances, selon un sondage de Merck Canada.

Ces connaissances permettent d’élargir les options de traitement offertes au patient, croient 26 % des médecins généralistes et 28 % des spécialistes, suggère-t-on.

Quelque 13 % des répondants affirment que le coût d’un médicament est un critère moins important dans la sélection de traitements, s’ils savent qu’un patient est couvert par un régime privé d’assurance médicaments.

Toujours selon le sondage, le tiers (35 %) des médecins croient être au courant de la majorité des coûts des médicaments, alors que 45 % en connaissent une partie. Seulement 4 % des médecins se disent au fait de tous les coûts.

Au moment de choisir entre deux médicaments avec un écart de prix important, 23 % des répondants au sondage ont affirmé que le coût avait une grande importance et 48 % qu’il était plutôt important.

Près de la moitié prescriraient le médicament le moins cher, mais 10 % des généralistes et 12 % des spécialistes donneraient une ordonnance pour le plus cher si celui-ci était meilleur.

Près d’un médecin sur dix (9 %) prescrirait le traitement le plus approprié sans égard du coût.

Ce texte est l’adaptation d’un article de Benefits Canada.