Un nouvel assouplissement de la politique monétaire est nécessaire, juge l'institution.
Selon les Services économiques de RBC, les banques centrales devraient maintenir les taux d'intérêt à des niveaux très faibles et veiller à la liquidité des marchés.
Selon un sondage de l’ORHRI, 43 % des employeurs prévoient des hausses salariales inférieures au taux d'inflation québécois, contre 5,7 % disant le contraire.
L’indice Mercer sur la santé financière des régimes de retraite, qui s’établissait à 71 % au 30 juin, a chuté à 60 % au 30 septembre.
Ces prévisions sont comparables aux niveaux prévus pour 2011. Toutefois, la hausse récente de l'inflation viendra gruger une partie de ces augmentations.
Selon un sondage de RBC Dexia, 84 % des promoteurs de régimes PD s’inquiètent de l'impact que ces deux aspects pourraient avoir sur les actifs de leurs régimes.
Ils « n'ont peut-être pas en place la meilleure stratégie » pour préparer leurs vieux jours, constate RBC dans un sondage. Voici pourquoi.
Les gestionnaires estiment que les devises surpasseront les autres catégories d'actif au cours de la prochaine année.
Une saine gestion des risques est profitable pour tous. Le contexte actuel peut retarder l'implantation de certaines stratégies, mais les promoteurs devront être prêts en moment opportun.
Pour les économistes keynésiens, l’inflation est avant tout une augmentation des prix des services et des marchandises. Pour les économistes monétaristes, l’inflation est un phénomène monétaire qui résulte d’une expansion de la base monétaire, et résulte par conséquent, de l’activation de la « planche à billets » par les banques centrales. De nombreux experts se […]