Leur solvabilité est demeurée inchangée malgré le choc du Brexit.
Les comptables du pays ne sont pas très optimistes...
C’est un prix Nobel d’économie qui le dit.
Des mois, voire des années d'incertitude sont à prévoir.
Une déconfiture serait le plus grand risque pour l’économie canadienne.
La remontée des prix du pétrole augure de meilleurs jours.
Elle maintient son taux directeur et révise à la hausse sa prévision de croissance.
Plus de la moitié des Canadiens estiment que leur employeur peine à trouver les talents dont il a besoin.
Mais elle restera à la traîne comparativement à d'autres provinces canadiennes.
Des prévisions qui tranchent avec le marasme ambiant.