Mais ce sont les hauts dirigeants qui en bénéficient le plus.
Ils peuvent bonifier leur rémunération de plus de 30 %.
Ils jouent un rôle clé dans la motivation et la satisfaction globale des employés.
Elle est 18 à 37 % plus élevée au public qu'au privé, selon la FCEI.
La Ville veut réduire l'écart salarial entre ses employés et ceux de l'administration publique québécoise.
En terme de rémunération globale, l'écart avec le privé est non significatif.
Des indications laissent présager des difficultés croissantes pour l'État à attirer et retenir les services de personnels hautement qualifiés.
Selon une étude d’Aon Hewitt, les relevés de rémunération globale sont efficaces pour sensibiliser les employés à la valeur de leurs avantages sociaux, et pour les fidéliser et les mobiliser.
Selon Aon Hewitt, les employeurs doivent sortir du cadre du salaire de base pour attirer et fidéliser les employés les plus performants.
En présence de signaux mixtes sur une reprise économique rapide, les dirigeants continuent à être préoccupés par le contrôle des coûts.