Son système de retraite demeure solide malgré d’importants défis.
D’ici 2035.
Un Canadien sur cinq s’y attend, selon un rapport de HSBC.
L'indice mondial Mercer Melbourne lui a accordé la cote B.
Les débats « ne seront pas faciles, mais ils sont nécessaires », affirme le président du comité d'experts sur le système de retraite au Québec.
Une note de l’IRIS cherche des solutions aux problèmes des régimes de retraite. Elle conteste la position de Claude Castonguay qui favorisait la mise en place d’un REER obligatoire.
Selon le ministre Ted Menzies, les RPAC fournira un mécanisme d’épargne-retraite à faible coût pour les employés et les travailleurs indépendants.
Les travailleurs québécois sont plus enclins à compter sur le secteur privé pour la gestion des régimes de retraite.
Les Pays-Bas demeurent en première position, mais aucun système des pays compris dans l'indice n'obtient une cote supérieure à 80.
Morneau Sobeco propose certaines pistes de solution en vue de cette réforme fort attendue.