L’immobilier figure aujourd’hui parmi les stratégies de placement alternatives les plus populaires. Comment un régime de retraite à prestations déterminées devrait-il cibler son investissement dans des bureaux?

Kevin Leon, président et fondateur de la firme torontoise Crestpoint Real Estate Investments, observe que la génération Y, les pigistes et les entrepreneurs font évoluer la demande de bureaux.

Alors que les institutions financières demeurent les locataires majeurs des espaces de bureaux en ville, la croissance du secteur des technologies crée une occasion de viser en dehors des zones centrales.

« Les investisseurs institutionnels peuvent faire preuve de créativité au moment d’examiner des bureaux, surtout si ces derniers sont près du centre-ville ou du réseau de transport en commun », dit-il.

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Les espaces de travail partagés (co-working spaces) constituent un autre vecteur de croissance, affirme Mario Morroni, vice-président exécutif, Stratégie et allocation du capital à Ivanhoé Cambridge, la filiale immobilière de la Caisse de dépôt et placement du Québec.

De nombreux locataires cherchent aussi des bureaux qui offrent de la flexibilité, ajoute-t-il.

« Les entreprises veulent pouvoir s’agrandir. Ainsi, elles investissent dans un plus grand espace que nécessaire pour en sous-louer une partie. Ensuite, lorsque l’organisation finit par croître, elle occupera l’ensemble de l’espace.

Ce texte est adapté d’un article paru dans Benefits Canada. Pour lire l’article complet (en anglais), cliquez ici.

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