Derek Clark

Le cytomégalovirus (CMV) est une infection courante qui présente habituellement peu ou pas de symptômes, mais elle peut mettre en danger la vie des personnes dont le système immunitaire est affaibli.

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Le CMV est un risque connu après une greffe, … [mais] le plan de traitement ne fonctionnait pas.

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Psoriasis pustuleux généralisé

Le psoriasis pustuleux généralisé (PPG) est une affection dermatologique rare qui provoque l'apparition de pustules douloureuses et prurigineuses sur de grandes surfaces du corps. Les poussées peuvent mettre la vie en danger.

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Lorsque j’ai une poussée de PPG, c'est une catastrophe nucléaire. Personne ne s'attend à ce que vous manquiez un mois entier de travail à cause d'une éruption cutanée.

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La maladie d'Alzheimer 

La maladie d'Alzheimer n'est pas un phénomène normal du vieillissement et peut affecter les personnes au cours de leur vie professionnelle. Geoffrey explique comment les difficultés rencontrées dans son travail l'ont mis sur la voie du diagnostic de déficience cognitive légère due à la maladie d'Alzheimer.

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J'avais besoin de l'aide constante de mes collègues... et je passais des heures le soir à essayer de rattraper mon retard... C'était une expérience solitaire, je faisais de mon mieux mais j'étais toujours à la traîne.

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Migraine

La migraine est la première cause d'invalidité chez les adultes de moins de 50 ans. Émilie Bortolussi-Courval décrit ce que c'est que de vivre avec la migraine et comment les employeurs peuvent aider.

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Lorsqu'un employé est à l'aise pour partager son état, demandez-lui comment vous pouvez le soutenir au mieux et minimiser ses déclencheurs.

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Alopécie areata

Marcy Gallant contribue à informer les Canadiens à l’alopécie areata par son travail de sensibilisation en ligne. Elle veut que les employeurs sachent que l’alopécie areata se manifeste de façon différente chez chaque personne et que n’importe qui, homme, femme ou enfant, peut être touché à tout moment de sa vie.

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La meilleure chose que les employeurs puissent faire, c’est de s’informer. Cela ne me dérange pas d’expliquer ma maladie lorsque les gens le demandent, mais nombreux sont ceux qui ne sont pas à l’aise lorsqu’on leur pose des questions à ce sujet.

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Diabète de type 2

Kerry Rasmussen aimerait que les promoteurs du régime regardent au-delà du prix et tiennent compte du coût pour les employés en temps, en productivité et en fierté lorsqu’ils ne peuvent pas avoir accès à des médicaments optimaux.

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Si ce médicament m’avait été offert immédiatement après mon diagnostic, imaginez combien de temps de plus j’aurais pu être en meilleure santé.

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Tanya Mohan

Dermatite atopique

Selon un sondage réalisé en 2016, il est estimé que 3,5 % des adultes au Canada sont atteints de dermatite atopique. Les adultes atteints d’une forme modérée ou grave de la maladie peuvent présenter des symptômes pouvant nuire au sommeil, à la santé mentale, à la qualité de vie et à la productivité.1 Amanda est l’une de ces personnes. Pour elle, la dermatite atopique, ce n’est pas « que des éruptions cutanées ». Il s’agit d’une maladie chronique de la peau qui, en période de « poussée », est terriblement douloureuse de sorte qu’il lui est difficile de participer à des activités sociales et de se concentrer au travail.

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Lors de ma plus récente poussée, la dermatologue m’a dit : ‘Vous ne pouvez pas aller travailler comme ça.’ Elle m’a rédigé un certificat médical sans que j’aie à le demander.
— Amanda

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Tanya Mohan

Tanya Mohan veut que les employeurs sachent que la dermatite atopique, plus communément appelée eczéma, « n’est pas qu’une question de peau ». Les personnes atteintes de dermatite atopique modérée ou grave peuvent avoir besoin de mesures d’adaptation comme le travail à domicile, ainsi que d’un accès à des médicaments parfois coûteux qui atténuent leurs symptômes.

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 « Les employeurs doivent savoir de quelle façon la dermatite atopique peut influer sur votre capacité à vous concentrer, à écrire et à faire toutes les choses qu’il faut faire pour réussir au travail. »

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Lisa Vautour

Luttait contre l’obésité depuis plusieurs années, ayant essayé d’innombrables approches pour perdre du poids. Il y a six ans, grâce au soutien de son employeur, elle a réussi à obtenir le traitement dont elle avait besoin pour surmonter ce qu’elle décrit sans équivoque comme une maladie chronique.

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 Le fait de ne pas avoir le stress supplémentaire de ne pas avoir de temps libre ou de ne pas bénéficier de la couverture pour les médicaments dont j’avais besoin m’a grandement facilité la réussite.

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Jeff Aarssen

Retraité et anciennement vice-président principal des Ventes, Clients collectifs, La Great-West, compagnie d’assurance vie

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 Si je n’avais pas trouvé le bon traitement, les choses auraient été bien plus difficiles. De fait, en m’annonçant son diagnostic, mon médecin m’avait dit qu’il y avait de fortes chances que je sois en fauteuil roulant avant l’âge de 30 ans.

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