Alopécie areata
Marcy Gallant contribue à informer les Canadiens à l’alopécie areata par son travail de sensibilisation en ligne. Elle veut que les employeurs sachent que l’alopécie areata se manifeste de façon différente chez chaque personne et que n’importe qui, homme, femme ou enfant, peut être touché à tout moment de sa vie.
«
La meilleure chose que les employeurs puissent faire, c’est de s’informer. Cela ne me dérange pas d’expliquer ma maladie lorsque les gens le demandent, mais nombreux sont ceux qui ne sont pas à l’aise lorsqu’on leur pose des questions à ce sujet.
»
Diabète de type 2
Kerry Rasmussen aimerait que les promoteurs du régime regardent au-delà du prix et tiennent compte du coût pour les employés en temps, en productivité et en fierté lorsqu’ils ne peuvent pas avoir accès à des médicaments optimaux.
«
Si ce médicament m’avait été offert immédiatement après mon diagnostic, imaginez combien de temps de plus j’aurais pu être en meilleure santé.
»
Dermatite atopique
Selon un sondage réalisé en 2016, il est estimé que 3,5 % des adultes au Canada sont atteints de dermatite atopique. Les adultes atteints d’une forme modérée ou grave de la maladie peuvent présenter des symptômes pouvant nuire au sommeil, à la santé mentale, à la qualité de vie et à la productivité.1 Amanda est l’une de ces personnes. Pour elle, la dermatite atopique, ce n’est pas « que des éruptions cutanées ». Il s’agit d’une maladie chronique de la peau qui, en période de « poussée », est terriblement douloureuse de sorte qu’il lui est difficile de participer à des activités sociales et de se concentrer au travail.
«
Lors de ma plus récente poussée, la dermatologue m’a dit : ‘Vous ne pouvez pas aller travailler comme ça.’ Elle m’a rédigé un certificat médical sans que j’aie à le demander.
— Amanda
»
Tanya Mohan
Tanya Mohan veut que les employeurs sachent que la dermatite atopique, plus communément appelée eczéma, « n’est pas qu’une question de peau ». Les personnes atteintes de dermatite atopique modérée ou grave peuvent avoir besoin de mesures d’adaptation comme le travail à domicile, ainsi que d’un accès à des médicaments parfois coûteux qui atténuent leurs symptômes.
«
« Les employeurs doivent savoir de quelle façon la dermatite atopique peut influer sur votre capacité à vous concentrer, à écrire et à faire toutes les choses qu’il faut faire pour réussir au travail. »
»
Lisa Vautour
Luttait contre l’obésité depuis plusieurs années, ayant essayé d’innombrables approches pour perdre du poids. Il y a six ans, grâce au soutien de son employeur, elle a réussi à obtenir le traitement dont elle avait besoin pour surmonter ce qu’elle décrit sans équivoque comme une maladie chronique.
«
Le fait de ne pas avoir le stress supplémentaire de ne pas avoir de temps libre ou de ne pas bénéficier de la couverture pour les médicaments dont j’avais besoin m’a grandement facilité la réussite.
»
Jeff Aarssen
Retraité et anciennement vice-président principal des Ventes, Clients collectifs, La Great-West, compagnie d’assurance vie
«
Si je n’avais pas trouvé le bon traitement, les choses auraient été bien plus difficiles. De fait, en m’annonçant son diagnostic, mon médecin m’avait dit qu’il y avait de fortes chances que je sois en fauteuil roulant avant l’âge de 30 ans.
»