Près de trois employés sur dix (29 %) affirment qu’ils accepteraient une baisse de salaire afin d’avoir un horaire flexible, tandis que 19 % renonceraient à des cotisations de contrepartie au régime de retraite.

Ce sont deux des conclusions d’un sondage de FlexJobs mené auprès de 5 500 employés, dont 22 % accepteraient moins de vacances en échange d’un horaire flexible.

Fait intéressant, parmi les facteurs clés pour choisir un poste, 73 % des employés soulignent l’équilibre travail-famille, par rapport à 69 % pour le salaire et un horaire flexible. Seulement 57 % étaient à la recherche d’un travail valorisant.

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Les participants au sondage semblent être convaincus que les options de travail flexible peuvent augmenter la fidélité à l’entreprise (79 %) et que le travail à distance renforce les relations avec les collègues (73 %).

Un travail flexible aurait une incidence importante sur la qualité de vie, révèle le sondage. Les trois quarts (78 %) des participants affirment qu’il leur permettrait de mener une vie plus saine alors que 86 % considèrent qu’il réduirait le stress.

Cet article est adapté d’un texte de Benefits Canada. Pour en lire plus (en anglais), c’est par ici.

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