Pas d’avantages sociaux ? Bye bye boss !
L’engouement pour le soutien en santé mentale est indéniable.
- Par : La rédaction
- 7 juillet 2022 30 août 2022
- 08:30
L’engouement pour le soutien en santé mentale est indéniable.
Le fossé se creuse plus que jamais
Les employeurs veulent en faire plus
L’étape décisive de l’intégration dans l’organisation.
Une option supplémentaire pour les petits commerçants.
Du moins, dans les PME.
Un enjeu de rétention pour les employeurs.
Alors que la menace de la pénurie de main-d’œuvre plane.
Le poids des troubles de santé mentale se fait sentir.
Les milléniaux veulent autre chose.
Priorité à la diversité.
Les travailleurs prêts à quitter pour obtenir plus.
Les syndicats déplorent leur statut d'employés de seconde classe.
La plupart des employés les jugent essentiels.
Elles craignent un fardeau administratif plus lourd.
Ce n’est pas le moment, jugent-elles.
Les organisations canadiennes en pointe.
Comment expliquer une telle inflation?
La crise sanitaire pousse Québec à assouplir certains critères.
Les employeurs cherchent le bon équilibre.
Leur accès devrait passer par l’employeur.
Elle inclut de nouveaux mécanismes liés à la santé mentale.
Malgré le contexte économique, ils n’hésitent pas à investir.
Quelles protections veulent-ils?
Surtout celles situées dans les centres-villes.