Un triple défi à relever.
Les Montréalais sont plus touchés que les autres Québécois.
Un recours accru aux médicaments, des besoins inquiétants.
Particulièrement en matière de santé psychologique.
Les jeunes employés sont plus à risque.
Les travailleurs ont peur de compromettre leur carrière.
La dépression est le trouble le plus répandu.
Les employeurs ont fait des efforts, mais sont-ils suffisants ?
La honte et les coûts élevés n’y sont pas étrangers.
Difficile, le retour au travail après une dépression.