Le Conference Board du Canada met en évidence les efforts du Groupe de promotion pour la prévention en santé (GP2S) en publiant d’un océan à l’autre une étude sur son travail, ses stratégies et la norme Entreprise en santé. Cette publication s’inscrit dans le cadre d’une stratégie du Conference Board visant à identifier les meilleures pratiques et innovations permettant de diminuer les impacts des maladies chroniques sur la performance des entreprises.

L’action du GP2S et de ses membres, tout comme la norme Entreprise en santé, attirent de plus en plus l’attention, au plus grand plaisir de Marie‑Claude Pelletier, présidente et directrice générale du GP2S. « Le fait que le Conference Board du Canada s’intéresse à nos initiatives est une grande source de motivation. Nous avons mis de l’avant les bonnes stratégies et cette étude de cas le démontre », a-t-elle déclaré.

L’étude fait état du caractère novateur du Groupe. On peut notamment lire dans le document que le GP2S n’est pas le premier organisme sans but lucratif qui encourage la mise en œuvre de programmes de santé pour les employés. Il se distingue toutefois des autres par son approche et son ambitieuse portée. Le GP2S vise le changement partout au Québec (…) et mise sur un « effet multiplicateur », c’est-à-dire la mobilisation d’employeurs pour diffuser ces messages de prévention et de promotion de la santé dans l’ensemble de la province.

L’étude se poursuit en mentionnant que les produits nés du GP2S sont aussi novateurs. La norme Entreprise en santé, par exemple, propose un plan d’action et un processus de certification entièrement nouveaux.

Selon Roger Bertrand, président du conseil d’administration du GP2S, les bénéfices liés à la promotion de la santé physique et mentale des employés sont mesurables et les entreprises comprennent de plus en plus l’importance à y accorder, soit des employés plus en santé et productifs, une baisse de l’absentéisme, une meilleure capacité d’attraction etc. « Au moment où la société se questionne sur le financement de la santé, nous estimons que notre approche se doit d’être considérée comme une solution constructive », explique-t-il. « Nous proposons une marche à suivre qui permet de revoir nos façons de faire. L’étude du Conference Board prouve que notre action est justifiée. »