Jim Flaherty, ministre fédéral des Finances

Le gouvernement fédéral est prêt à écouter toutes les propositions relatives à la réforme de la retraite, mais n’a pas encore déterminé si les citoyens canadiens devraient être forcés, ou simplement encouragés, à mettre de l’argent de côté en vue de leurs vieux jours.

Le ministre des Finances, Jim Flaherty, a indiqué que le gouvernement n’avait pas d’idées préconçues sur ces questions lors du début des consultations à Winnipeg. Une série de rencontres à laquelle doit participer le ministre sont prévues dans les prochains jours dans un effort visant à assurer que les Canadiens aient suffisamment d’argent au moment de prendre leur retraite.

Le mois dernier, Statistique Canada publiait les résultats d’une étude qui révélait que seulement la moitié des contribuables avaient mis de l’argent en 2008 dans un régime privé d’épargne-retraite, comparativement à 57 % en 1997