
Santé mentale: un des pires moments depuis un an
Mais des pistes se dessinent pour l’avenir.
- Par : La rédaction
- 26 avril 2021 27 avril 2021
- 13:02
Mais des pistes se dessinent pour l’avenir.
Les gestionnaires ont un rôle actif à jouer.
Les Montréalais sont plus touchés que les autres Québécois.
Un recours accru aux médicaments, des besoins inquiétants.
Le niveau de stress dicte le départ à la retraite.
Les jeunes employés sont plus à risque.
Les travailleurs ont peur de compromettre leur carrière.
La dépression est le trouble le plus répandu.
Les employeurs ont fait des efforts, mais sont-ils suffisants ?
La pandémie a mis en lumière certaines lacunes
Le ministre Boulet refuse de s'engager dans cette voie.
La honte et les coûts élevés n’y sont pas étrangers.
Le temps est venu de retourner au bureau, dites-vous ?
Leur implantation doit reposer sur une stratégie intégrée.
Difficile, le retour au travail après une dépression.
Tout n'est cependant pas négatif.
La communication et la flexibilité avant les augmentations salariales.
Particulièrement chez les 18-34 ans.
La déprime hivernale s’est accrue cette année.
Une dépendance néfaste pour la santé mentale.
Les coûts flambent au Royaume-Uni.
Deux jours par semaine, pas plus, disent les travailleurs.
Ils affectent énormément les parents.
Alors que le manque de repos fait chuter la productivité.
Le télétravail a rapidement montré ses limites.